Festivals 08/10/2019

La 21e édition du Festival des Antipodes

Le Festival des Antipodes, pour ce que ses organisateurs présentent comme sa “seconde majorité”, reste fidèle à ses principes en proposant, une nouvelle fois, une expérience hors du commun avec cette fois une mise en valeur de la culture maori et une attention particulière pour les femmes cinéastes néo-zélandaises.

Pour cette 21e édition, petite nouveauté, le festival se déroulera du 9 au 13 octobre, donc sur cinq jours au lieu des six habituels. Mais pas d’inquiétude : la compétition des courts et celle des longs métrages, ainsi que la section “Antipodes junior” à destination du jeune public, sont conservées.

Cette année, le festival proposera six longs métrages en compétition et pas moins de dix-neufs courts métrages, mais aussi quatre documentaires et cinq longs métrages hors compétition, dont Hibiscus and Ruthless (qui avait remporté le Prix du public de la 20e édition) et One Hundred a Day, un court métrage de Gillian Armstrong datant de 1973. Ainsi de l’amour à l’animation en passant par le drame et le sport, le Festival des Antipodes offre un panel de colorations très différentes.



Dans le cadre des projections de Waterfall (photo ci-dessus) et A Stone’s Throw, il sera possible au public de rencontrer les réalisateurs Nora Niasari et Luke Wissel, présents sur le festival. Enfin, une exposition sur les œuvres de Nunan et Cartwright sera à visiter sur la durée de la manifestation.

Axel Vaussourd

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Photo de bandeau : Sweet Tooth de Shannon Ashlyn (2019).